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03 : 25

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21 avril 2012

On attend parfois trop longtemps, toute une vie

On attend parfois trop longtemps, toute une vie même, le déclic qui nous autorise à vivre. Le changement. Le moment où il sera temps de sauter dans le vide. Oser être heureux, prendre le risque de perdre ce que l'on gagne. Alors on préfère toujours ne rien avoir. Ainsi peut-être la mort nous oubliera ... Mais il n'y a pas de moment adéquat, il n'y a ni clefs, ni signes. Et personne en qui croire. Passer les désillusions on se rend compte qu'il n'y a que soi même sur qui s'appuyer. Ne pas se perdre parmi les mirages... Mais faire avec, sans les éviter.

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29 janvier 2012

Tout changement, chaque séparation ramène à la

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Tout changement, chaque séparation ramène à la mort. Et tout au long de la vie, on ne fait que se détacher.  

28 janvier 2012

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28 janvier 2012

10:16

"C'est toujours un bonheur de faire tomber les masques, et de se rendre compte que les gens nous préfèrent déguisés"

( Camille de Peretti - Nous sommes cruels - )

27 janvier 2012

Pour oublier je dors

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25 janvier 2012

08:29

Tu  t'en vas sans moi, ma vie . Tu roules. Et moi j'attends encore de faire un pas. Tu portes ailleurs la bataille. Tu me désertes ainsi.

Je ne t'ai jamais suivie. Je ne vois pas clair dans tes offres. Le petit peu que je veux, jamais tu ne l'apportes. A cause de ce manque, j'aspire à tant. A tant de choses, à presque l'infini... A cause de ce peu qui manque, que jamais tu n'apportes.
 
 
Henri Michaux _ extrait de "la nuit remue"
24 janvier 2012

23:45

24 janvier 2012

08:53

Que la défonce soit créative, j'en doute, et comment !    De Quincey a écrit de bonnes choses et le Mangeur d'opium est joliment torché, malgré quelques passages assez barbants.    C'est dans la nature des artistes de tenter presque toutes les expériences.    Les artistes sont des découvreurs, désespérés et suicidaires.    Mais la défonce vient APRES l'Art, après que l'artiste existe.    La défonce ne produit pas l'Art.    Mais elle devient souvent la récréation de l'artiste, comme une cérémonie de l'être, et les soirées de défonce lui fournissent aussi un sacré matériel, avec tous ces gens qui se déculottent le cerveau, ou qui, s'ils ne se déculottent pas, baissent leur garde.

Charles Bukowski " nouveaux contes de la folie ordinaire" extrait de - La grande défonce - .

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