On attend parfois trop longtemps, toute une vie
On attend parfois trop longtemps, toute une vie même, le déclic qui nous autorise à vivre. Le changement. Le moment où il sera temps de sauter dans le vide. Oser être heureux, prendre le risque de perdre ce que l'on gagne. Alors on préfère toujours ne rien avoir. Ainsi peut-être la mort nous oubliera ... Mais il n'y a pas de moment adéquat, il n'y a ni clefs, ni signes. Et personne en qui croire. Passer les désillusions on se rend compte qu'il n'y a que soi même sur qui s'appuyer. Ne pas se perdre parmi les mirages... Mais faire avec, sans les éviter.